Nemesis ne fut pas surpris par le comportement de la belle, elle le provoquais autant que ce que ses vêtements étaient excitants. Il conserva son étreinte l’empêchant de se dégager et continua de lui caresser la poitrine comme si cela était un jeux, un passe temps qu'il appréciait temps qu'elle ne lui disait rien. Mais quant elle lui sortit sa tirade de fausse sainte ni touche il manqua d'exploser de rire.
-Hooo voyons temps de mépris pour de pauvres travailleuses nocturnes, elles ne ton rien faient pour temps? En plus Cecile est une vrais petite perle, mes filles sont loin d’être répugnantes aux yeux des hommes et je ne te permettrait pas de t’entendre dire de telles choses à des femmes qui travailles si dur, faire respecter la justice coûte cher.
L'ont pouvaient remarquer si c'était la voix d'un homme vexer ou celle d'un enfant amuser qui parlait rendant impossible à déchiffrer si il l'avait bien pris. Son visage gardait toujours son sourire innocent qui faisait temps peur au personnes qui ne le connaissaient pas.
-En suite chérie pour mon prix je viens par le plus pur des hasards d’acquérir d'une petite somme.
Il sortit la liasse de billet qu'il venait de dérober pour l'agiter sous le nez de la belle comme pour la tenter.
- Cela te convient-il?
Il marqua une courte pause.
- Non bien sur que non, sinon tu ne serrais que au même niveau que ses "autres catins répugnantes".
Dit-il amuser en faisant des gros guillemets avec ses mains.
- Tu es plus cupide que ce que tu n'y parais, plus précieuse, attacher à tes valeurs malgré ta relâche totale de pressions, tu veux quelque chose de plus noble de plus rare, que personne d'autre ne soit capable d'avoir... tu me veux, mais tu ne te l'avoue pas encore.
Ses dernier mots étaient si près d'elle qu'elle put sentir son souffle chaud sur ses lèvres quant elle tournait la tête. Il la retourna pour se trouver face à elle et la pris dans ses bras se colla de plus en plus à elle, il la força à reculer et la plaqua contre le mur derrière elle, attrapant les poignets et les tenant au dessus de sa tête en lui lançant son sourire habituelle pour ne pas qu'elle prenne peur. Puis il prit le temps de la regarder de bas en haut, plusieurs fois, lentement, s’attardent sur les zones intimes et gênantes. Il attendait de voir la réaction de son regard sur la belle, si elle commençait à se tortiller ayant du mal à tenir en place en le fixant dans les yeux, c'est que son regard l'excitait de plus en plus mais, si il elle serrait les cuisses et se plaquait contre le mur en baissant le regard, c'est qu'elle était gêner et n'assumait pas sa sexualité. Nemesis était curieux de voire la réaction.
Puis il s’avança posant son bassin contre le siens, lui lâcha les mains et glissa une cuisses entre les siennes remontant légèrement pour caresser l’intérieur des cuisses et presser légèrement l'intimité. Le mini-short, déjà serrer de base le devenait de plus en plus à chaque pressions et rendant la situation plus pressente. Il posa en suite son torse contre elle exerçant une pression la maintenant encore plus contre le mur et lui faisant ressentir le battement de son cœur ainsi que sa chaleur corporelle. Il exerçait de léger mouvement de haut en bas tous en parlant, ses paroles étaient de plus en plus bas gardant une intimité à chaque fois qu'il approchait son visage du sien.
- Quelle drôle de métamorphose que voilà, la fleur que j'ai entretenu toutes ses années passant de ce bourgeon à commencer à ce révéler, à éclore, mais ce n'est pas fini, elle n'a pas réveiller tous son potentiel, elle semble en vouloir bien plus, à se lâcher bien plus, a vivre en fin et à exister.
La situation était étrange, Nemésis semblait parler comme devant un miroir, absent et récitant son observation en étant vide intérieurement. Et à la fois il semblait passionné habité par la subjugué devant ce qu'il voyait et témoignant comme une tendresse inhabituelle comme si il n'était plus lui.
- Pas prête, pas mur, il faut attendre encore, attendre encore un peu.
Plus il répétait ses mots et plus il tremblait légèrement, il voulait quelque chose qu'il ne pouvait encore avoir, son regard était fanatique et presque en transe. Mais malgré son regard à faire peur tous le monde savait que Nemesis était un homme patient et adorait laisser les choses et les gens évoluer et mûrir avant de s'en servir et quant il convoitait trop quelque chose il se retrouvait à faire une petite crise qui ne durait jamais longtemps. Soudain son regard éclaircit.
-Hooo nous disions très chère ? Ha oui, mes prostitué.
Il s’approcha doucement son visage de celui de Harley et attrapa la lèvre inférieur de la belle entre ses dents avant de tirer doucement dessus puis de la relâcher. Il glissa sa respiration chaude jusque dans son coup en chuchotant.
-Et vous très chère vous ne l'êtes pas ? Ma créature attitré ? Vous savez que j'ai du mal à partager...
La pression sur l'intimité se faisait de plus en plus pressente et marquer comme si il la pénétrait ou se frottait contre elle. Ses mains glissèrent le long des cuisses passant par moment de long doigts caressant à des griffes, les ongles excitant la peaux. Ses lèvres frôlèrent la peau du coup avant de venir la mordiller. Les caresser étaient de plus en plus intenses, il cherchait à l'exciter, la rendre folle au point qu'elle veille le faire maintenant et tous de suite devant tous le monde. Nemesis ne cherchait absolument pas cette extravagance, il la torturait sexuellement la gardant toujours à un degré de plaisir extrême sans jamais assouvir le désir ou provoquer la jouissance, tous cela pour quelle lui devienne sienne plus facilement et pour finir la soirée avec un expérience des plus explosive, mais la soirée est loin d'être fini...
Ses attouchements et simulation de pénétrassions allaient de plus en plus vite de plus en plus fort comme si il était emporté, il se laissait guider par la belle réagissant en fonction de ses réactions. Elle ne pouvait rien bouger sans provoquer une vague de plaisir à l’exception des bras qui était entièrement libre. Soudain il s’arrêta brusquement santant qu'il ne devait aller plus loint, il se mit le visage face à face et recommença à attraper la lèvre inférieur avec les dents se reculant à chaque fois pour éviter qu 'elle ne l'embrasse, même si il ne l’empêcherait pas si elle se risquait à casser son petit jeux de lèvre. Puis il déboutonna le mini short en même temps sans qu'elle ne le remarque avant de lui chuchoter.
- Cela fais par trois fois que tu m'offense malgré mon hospitalité en ses lieux.
Il sortit un calepin de sa poche et commença des calcules, marmonnant à voix basse comme un enfant imitant un comptable.
- Cupide, égoïste, rancunière, non pas rancunière, un point pour les prostitué... Haaa voilà cela en fait deux.
Et avant qu'elle ne réagisse, Nemesis glissa une main dans la culotte de la belle et la pénétra de deux petits œufs en plastique. Il profita du petit cri jouissif de surprise avant de se reculer d'un saut en retirant vite sa main. Il pris une posture bas comme un prédateur et tendit un doigt vers elle pour lui dire d'attendre.
-Surprenant non ? Et je te déconseille de les enlever. Je t'explique, tous cela n'est que justice et comme je ne peux laver mon honneur en te tuant, car oui cela serrait très dur pour moi...
Il parlait comme un show d’humoriste sur scène en faisant les cents pas.
-... J'ai donc décider de te punir à ma manière. Ce sont des œufs vibrant que je t'ai mis et sans fils, du produit high-tech, de première ordre. J'ai la télécommande dans ma poche et je l'activerait quant bon me semble. Il sont conçu pour ne pas être sentis, tu vois la tu ne les sent pas...
Il actionna la télécommande, laissant une demi seconde sur la puissance maximale arrachant un petit cri de plaisir à la belle. Cela l’arrangeait bien car il pourrait plus facilement conserver la tentions sexuelle constante de Harley avec cette objet.
-..et la tu la sentis. Car cela est un jeux, le but pour toi est d'être … toi, oui juste toi. Si justice doit être faite je t'en rajouterait un de plus et ainsi de suite. Je peux actionner les œufs comme je le veux et comme je le sent, et toi pour perdre un œuf tu devras... juste me suivre et me laisser te faire découvrir mon monde.
Il tira une révérence comme si son monde méritait un telle éloge. Lui lançant un sourire et un regard malicieux. Puis il se mit à réfléchir comme si il manquait quelque chose.
-Haaaa j' ai oublier un truc important..... Haaaaa mais oui suis-je stupide.
Il tapa dans sa main avec le point comme si c'était l’idée du siècle.
-Ça n'a pas beaucoup d’intérêt mais les œufs comportes des explosifs qui se déclenchas si tu les retires sans mon accord. Alors maintenant que les futilités sont dites, je te propose un opéra d'explosion de commissariat ou danser sur les flammes du palais de justice ?